Voici l'explication (que j'ai du relire plusieurs fois) la plus proche des sentiments d'euphorie, de convivialité et de créatitivé que je ressens en buvant du vin vivant. L'auteur est un vigneron star du Bourgogne nature, neveu du pionnier du beaujolais vivant Marcel Lapierre, et dernier élève du père spirituel du vin vivant, Jules Chauvet. Oui, le vin vivant me rend heureux. Il m'inspire un travail qui consiste précisemment à aider mes clients, particuliers ou entreprises, à trouver ce qui les équilibre.
Toute cette énergie est de l’information en mouvement, accumulée pendant la fermentation. Elle provoque en nous des émotions organoleptiques* et du bien-être qui vont bien au-delà du plaisir et qui nous touchent et nous équilibrent au plus profond de nous, dans nos cellules.
Alors que nous consommons de plus en plus de produits morts et déguisés qui nous éloignent de notre nature profonde et affectent notre intelligence et notre beauté, le vin vrai est une source vibratoire qui nous permet de nous équilibrer et de rentrer en résonance avec nous-mêmes, les autres et l’environnement ».
Amen ! Oui, c'est un peu ésotérique. Mais essayez, vous verrez !
C’était Philippe Pacalet, in études scientifiques de Jules Chauvet, Jean-Paul Rocher, éditeur, que je recommande évidemment.
*Les propriétés organoleptiques sont perçues et évaluées par nos sens : odeur, goût, texture, couleurs, son. La dégustation en somme.